Les progressistes, les démocrates à tous crins, les intellectuels dit d’avant-garde, ceux qu’on baptise de catholiques de gauche, s’entendent sur un point pour eux essentiel : la haine de l’Union nationale et de son chef Maurice Duplessis. Les abbés Dion et O »Neil

En marge de l’article de MM. Les abbés Gérard Dion et Louis O’Neill, professeurs à l’Université Laval sur les mœurs électorales du Québec. Les adversaires de l’Union nationale de Maurice Duplessis s’en emparèrent comme accusateur de l’Union nationale

Vingt ans que l’Union nationale prenait les rênes du pouvoir sous la direction de Maurice Duplessis. Le parti est si fort qu’il a éclipsé le parti libéral. Résumé de la fondation du parti, de ses réalisations

L’Union nationale de Maurice Duplessis n’est pas un parti en soi, mais un mouvement d’influences et de forces qui s’appuie sur les bonnes volontés, d’où qu’elles viennent, à la seule condition qu’elles s’emploient à cet objet élevé : le plus grand bien de la...

Au début de la campagne électorale pour les prochaines élections provinciales,  Maurice Duplessis fustige Georges-Émile Lapalme et rappelle le désastre des élections de 1939 en termes de subordination à l’État fédéral