L’HÉRAULT, Pierre, «La Dame blanche», dans Maurice Lemire, Dictionnaire des oeuvres littéraires du Québec, tome II, Montréal, Fides, [1980], p. 323-324.

DUCROCQ-POIRIER, Madeleine, «La ferme des pins», Le roman canadien de langue française de 1860 à 1958, Paris, A.G. Nizet éditeur, 1978, p. 208-209

DUCROCQ-POIRIER, Madeleine, «Dolorès»,Le roman canadien de langue française de 1860 à 1958, Paris, A.G. Nizet éditeur, 1978, p. 297-299.

DUCROCQ-POIRIER, Madeleine, «Juana, mon aimée»,Le roman canadien de langue française de 1860 à 1958, Paris, A.G. Nizet éditeur, 1978, p. 293-297.

DUCROCQ-POIRIER, Madeleine, «L’homme tombé», Le roman canadien de langue française de 1860 à 1958,  Paris, A.G. Nizet éditeur, 1978, p.256-257.

DUCROCQ-POIRIER, Madeleine, «La Terre vivante», Le roman canadien de langue française de 1860 à 1958, Paris, A.G. Nizet éditeur, 1978, p.205-207.

DUCROCQ-POIRIER, Madeleine, «La maison vide», Le roman canadien de langue française de 1860 à 1958, Paris, A.G. Nizet éditeur, 1978, p.258-260.

Compte rendu critique publié dans Le Travailleur  d’Yvonne Le Maître au sujet de Portages et routes d’eau en Haute-Mauricie

La présentation radiophonique de Claude-Henri Grignon  au sujet de l’ouvrage de Harry Bernard, Portages et routes d’eau en Haute-Mauricie

LAURENCE, Jean-Marie, «L’importance des petits mots et la langue de nos écrivains», L’Enseignement primaire, vol. 12, no 5, décembre 1952-janvier 1953, p. 374-376.

LÉGARÉ, Romain, «Les Livres canadiens, Harry Bernard, Les jours sont longs», Culture, vol. 12, no 4, décembre 1951, p. 430-432.

ANONYME, «Les grands romans canadiens. Les jours sont longs de Harry Bernard», La semaine à Radio-Canada, , 22-28 avril 1951, p. 3.