Décrochant le trophée Louis-Francoeur et devançant Bernard une deuxième années de suite, Yves Michaud se voit ainsi récompensé par ses confrères journalistes  

Selon Yves Michaud, Bernard lui est hostile parce qu’au dernier congrès des Hebdos, Le Clairon maskoutain et lui-même auraient déclassé Le Courrier et Bernard

Yves Michaud se scandalise du fait que la Chambre de commerce de Saint-Hyacinthe ait été obligée de solliciter l’appui du représentant de l’Union nationale du comté, Gilles Chartier, afin d’obtenir un octroi pour leur congrès

Michaud revient sur les élections de juin 1956 alors que le député Saint-Pierre était élu malgré les bandits d’élections de l’Union nationale

Yves Michaud relate les attaques du député Saint-Pierre contre ce qu’il a appelé les filous d’élections qui avaient appuyé le candidat conservateur

Devant la campagne systématique de dénigrement de Bernard, Yves Michaud se voit obligé de répondre

De l’acharnement du Courrier à dénigrer le député provincial libéral René Saint-Pierre, alors que la politique aveugle et partisane n’a plus sa place selon Yves Michaud

À quelques jours du scrutin, Bernard revient notamment sur les fausses accusations d’une circulaire libéral qui accuse Diefenbaker d’être anti-cléricval, anti-Canayen et décrocheur de crucifix.

Avis aux électeurs, nous dit l’homme dans la coulisse, le candidat Hébert ne serait pas un authentique libéral

Poursuivant ses critiques sous le nom pseudonyme de « L’homme dans la coulisse », Bernard écorche en passant Yves Michaud du Clairon maskoutain qui est favorable au candidat libéral Hébert.

Devant les vantardises de Bernard qui prétend que Le Courrier est meilleur que Le Clairon maskoutain, Yves Michaud présente quelques faits tirés des résultats des concours dévoilés lors du congrès des Hebdos de 1957

En ce début de campagne électorale fédérale, Yves Michaud se désole de voir Bernard reprendre les mêmes tactiques d’un journalisme malhonnête et irrespectueux