Sous l’Union nationale, de nouveaux développements industriels et de la défense des droits du Québec

La chocolaterie suisse Kambly avait accepté d’installer une filiale dans notre ville, à la condition que la municipalité lui trouve un immeuble convenable

Le Québec veut vivre de lui-même sans être au crochet de qui que ce soit afin de garder se liberté de penser et d’action. Pour Maurice Duplessis, il y a des divergences fondamentales quant à l’autonomie et à la fiscalité

De l’imbroglio entre le fédéral et le provincial. Maurice Duplessis rappelle que, depuis 1945, il n’a cessé d’inviter le fédéral à coopérer avec le provincial pour en arriver au règlement des problèmes financiers inter-gouvernementaux. Pacte confédratif

L’attitude de Maurice Duplessis sur le partage des impôts provoque une hostilité de la part de certains anglophones du pays

Bilan de la ville de Saint-Hyacinthe pour l’année 1953. Chiffres à l’appui : dépenses et revenus. Surplus global au chapitre de l’administration municipale et celui des services publics. Budget équilibré pour l’année en cours

Selon Maurice Duplessis, l’impôt est destiné à l’éducation et à l’instruction, à la santé publique, à une amélioration de la législation sociale. Première décision en marge de cet impôt : il viendra en aide aux hôpitaux, aux maisons d’enseignement d’ordre supérieur, universités et collèges...

On a tort de traiter le ministre du travail Antonio Barrette de ministre du capital  

Somme additionnelle votée pour que le Service de l’habitation puisse parer davantage à la crise du logement. La législation provinciale veut favoriser la construction de maisons familiales en offrant des prêts

Les ouvriers protestent suite à une conférence d’Antonio Barrette, ministre du Travail, où il fit une mise au point quant à certains aspects du problème ouvrier.  Gérard Pelletier et Gérard Picard

Bernard s’attaque au député libéral fédéral de Saint-Hyacinthe, Jos Fontaine quant à sa position sur la querelle fiscale Québec-Ottawa

La décision de M. Abbott, ministre fédéral des Finances, en ce qui concerne l’impôt provincial, provoqua au Québec une forte indignation. Il rejette la déductibilité de l’impôt, condamnant ainsi les contribuables québécois à la double taxation