El General Juan Robertson, Caracas, de Carlos Pi Sunyer. Anglo-Canadien, il vit le jour à Montréal le 4 mars 1767. Il fut militaire sa vie durant. Une fois lieutenant, il poursuit sa carrière aux Antilles avant de se joindre aux forces de Bolivar. Ouvrage biographique.  

Les Heures sauvages ouvrage extrait du journal qu’a tenu Madame Chaput-Rolland.  

Grand prix de littérature de la ville de Montréal pour Les Grands-pères de Victor-Lévy Beaulieu. Selon Bernard, Beaulieu exagère dans les grossièretés, emploie trop de mots anglais. Beaulieu se raconte en même temps qu’il raconte dans ses livres.

C’est si peu de chose de Geneviève Gilliot. Sept mois de prison en France pour un délit dont l’auteur ne connaît pas la nature. Elle raconte son histoire.

Au fin bout de l’espoir de Lionel Allard. Selon Bernard, il gaspille ce beau sujet de la mort lente de certaines paroisses du Bas-du-Fleuve. Bernard survole la littérature canadienne-française et note quatre élans de 1920 à 1970.  

Histoire économique et sociale du Québec, 1760-1850, de Fernand Ouellet, historien.

La Pêche sportive au Québec de Serge Deyglun. Livre pratique.  

Manifeste pour la liberté de l’information de Claude-Jean Devirieux. L’auteur est journaliste. Dans ce livre, il y dit ce que sont nos journaux dans divers milieux et en quoi ils ne sont pas toujours ce qu’ils devraient être.  

Ces Filles de nulle part, recueil de nouvelles de Serge Deyglun et Le Raton-laveur de Marc Doré. Ils sont du même genre et d’esprit. Ils ont de la couleur et ne manquent pas d’allant. Résumé de l’histoire                    ...

La Tragédie des Indiens du Canada de Harold Cardinal traduit de l’anglais par Raymond Gagné et Jacques Vallée.Bernard met en parallèle ce livre écrit par un autochtone albertain de langue anglaise avec celui de Max Gros-Louis dont il a traité la semaine précédente (voir 22 mars 1972)...

Le premier des Hurons par Mac Gros-Louis. Critique positive de ce livre qui fait connaître les Hurons. Brève biographie de l’auteur.  

Bernard traite de différents ouvrages et des tendances du roman au Canada-Français. Bessette étonne mais Bernard se demande s’il ne fait pas fausse route.