«Deux cris d’alarme qui intéressent la classe agricole»

Ils ont trait à l’agriculture. Premier : trop grande apathie et indifférence des travailleurs de la terre en face de l’instruction et de l’éducation. Deuxième : trop peu de bacheliers formés dans nos collèges classiques s’intéressent à la médecine vétérinaire

edito_21aout1958_350