«Des poèmes de Clément Marchand»

Les soirs rouges, Éditions du Bien Public, Trois-Rivières. Il ne s’agit pas d’un volume révolutionnaire, communiste ou communisant. Sans doute y a-t-il en Marchand du poète populiste, comme en témoignent certaines pages sur l’activité urbaine, le travail des usines, l’atmosphère des quartiers ouvriers. Mais ce n’est là qu’une face de l’écrivain, qui ne le caractérise pas complètement

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