«Paul Hervieu, Sarcey et les tourmentés de notre époque»

Paul Hervieu mourut en 1915. Il passait pour un des plus solides piliers du théâtre français. Aujourd’hui, cela paraît exagéré. Il ne reste rien de ses romans ni de ses pièces.  Dans sa pièce Tenailles, il revendique le droit au bonheur malgré le devoir. Le père Sarcey n’hésite pas à reconnaître dans Irène, l’héroïne, une fille révoltée de George Sand et d’Ibsen.

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