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«Les divagations de Georges-Émile Lapalme et de ses pareils, sur l’Ungava»

Ce territoire, l’un des plus riches au monde en minerai de fer, alimentera les grandes aciéries et aura permis de neuves initiatives dans le monde sidérurgique. Le crédit en va à l’Union nationale et non aux libéraux de Lapalme qui n’accordèrent jamais un regard à l’Ungava. Côte-Nord et Maurice Duplessis

edito_3fevrier1956_350