«Un roman posthume de Louis Dantin»

Les Enfance de Fanny, aux Éditions Chantecler à Montréal. Roman noir. Il offre de l’intérêt à plus d’un titre. Il est même douloureux, par l’à-côté autobiographique qu’il révèle, et sur lequel il ne peut y avoir de doute. Dantin le laissa en manuscrit. Comme il devint presque aveugle, les derniers chapitres furent dictés à Dion-Lévesque, franco-américain. L’auteur eut, à son propos, beaucoup d’hésitations. Il savait qu’il ferait scandale

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