«Un artiste probe et propre : Albert Samain»

Il travaillait lentement, dans l’ombre, ne se souciant pas de publier, plus préoccupé de la perfection, pour lui-même, que de l’acclamation des autres. Il donna Aux flancs du vase en 1898, mais le livre passa inaperçu. Outre deux ouvrages publié de son vivant, il laissait divers manuscrits dont on tira Le Chariot d’Or, le drame Polyphène et ses Contes

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