«L’étrange génie de Lafcadio Hearn»

Il se distingua comme interprète et plus particulièrement du Japon. Il partit pour le Japon en 1890, s’y plût, s’y installa. Son recueil Fantastica, qui ne parut qu’en 1914, représente le meilleur de son œuvre, entre 1879 et 1884. Il se compose de contes, d’essais et d’impressions, The name on the Stone et L’Ulalume

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