«L’honorable Jacob Nichol pense comme l’honorable Maurice Duplessis»

Sur le problème si important de l’autonomie provinciale – Son dernier discours au Sénat ne fera pas trépigner d’aise ses amis libéraux – M. Nicol, libéral reconnu, dit qu’on ne peut imposer aux provinces un marché qu’elles n’estimeraient pas équitable – Il étaye de toutes façons la thèse autonomiste du chef de l’Union nationale

edito_25juillet1947_350