«Les deux compères»

MM. Adélard Godbout et T.-D. Bouchard s’entendraient mieux que jamais – Le Clairon nous apprend que M. Bouchard fut bel et bien invité à Frelishburg – Le dernier discours au Sénat ne provoque aucune réaction chez M. Godbout – Sa haute indignation de 1944 n’était-elle qu’hypocrisie?

edito_9novembre1945_350